Le monde du triathlon s’apprête à vibrer à l’occasion de l’Ironman de Cascais, une épreuve majeure de l’endurance internationale. Cette année, une délégation ambitieuse du Rougeot Beaune Triathlon prendra le départ, déterminée à porter haut les couleurs de la Bourgogne. Retour sur cette actualité qui suscite un engouement tout particulier chez les passionnés de triathlon, de trail, mais aussi d’endurance au sens large ! 🏊♂️🚴♂️🏃♂️
L’Ironman de Cascais s’est imposé en quelques années comme l’une des courses les plus exigeantes et sélectives du circuit européen. Avec ses 3,8 km de natation dans l’Atlantique, ses 180 km de vélo le long du littoral portugais, et un marathon pour conclure, il fait figure d’épreuve reine pour les amateurs de défis extrêmes. La participation du club Rougeot Beaune Triathlon ne doit rien au hasard : elle s’inscrit dans une politique de performance, de formation et de rayonnement régional.
Connu pour son dynamisme et la qualité de son encadrement, le club Rougeot Beaune Triathlon aligne cette année une belle palette d’athlètes, déterminés à briller au Portugal. Leur préparation, mêlant rigueur, planification et suivi scientifique, s’appuie notamment sur les recommandations récentes de la recherche, qui souligne l’importance de l’adaptation de la charge d’entraînement pour prévenir les blessures et optimiser la performance (Mujika et al, Sports Med, 2012).
Les membres de la délégation, qu’ils soient triathlètes aguerris ou rookies sur la distance Ironman, partagent le même objectif : franchir la ligne d’arrivée dans les meilleures conditions, voire, pour certains, décrocher une qualification pour le mythique championnat du monde à Hawaï. L’enthousiasme autour de la délégation s’explique aussi par une préparation collective, favorisant l’émulation et la résilience.
L’ancrage du Rougeot Beaune Triathlon dans cette dynamique s’inscrit aussi dans une recherche d’exemplarité : encourager toutes les générations à se dépasser, tout en respectant des principes de préparation éclairés et progressifs (Tiller et al, 2017, J. Sports Sci.).
Ce groupe engagé fait la fierté de l’agglomération, impatiente de voir ses couleurs briller sur une scène internationale. Il rassemble des athlètes de différentes expériences : certains visent une performance individuelle ou l’accès à Kona, d’autres veulent s’illustrer en tant que finisher et repousser leurs limites personnelles. Ce melting-pot de profils témoigne de la diversité et de la vitalité du club.
Parmi eux, des noms à surveiller : des athlètes qui se distinguent par leur palmarès ou leur progression fulgurante lors des dernières saisons. À noter que Thibault Escaich, 23 ans, vise Kona à l’Ironman de Cascais, prouvant que la relève du triathlon français ne manque ni d’audace, ni de talent !
Outre la gestion de la charge physique, les triathlètes accordent une importance accrue à la dimension mentale de la préparation. Travail de visualisation, stratégies de nutrition, gestion de l’effort sur la durée… Autant d’aspects incontournables pour dominer une épreuve Ironman, comme l’a démontré la littérature scientifique sur la performance en sports d’endurance (voir Tiller et al, 2017).
La présence d’une telle délégation sur le circuit Ironman profite aussi à tout l’écosystème du sport local : elle motive les jeunes sportifs, encourage la pratique du triathlon et du multisport féminin, masculine et junior, et favorise une dynamique d’entraide entre clubs régionaux. C’est aussi l’occasion pour le Rougeot Beaune Triathlon d’asseoir sa réputation de club formateur et performant en Bourgogne.
L’édition 2025 de l’Ironman de Cascais s’annonce donc passionnante pour tous les amateurs d’endurance, mais aussi pour l’ensemble de la communauté sportive française, impatiente de suivre les exploits de cette équipe bourguignonne. Bonne chance à tous les athlètes ! 💪🌊🔥
Les distances sont 3,8 km de natation, 180 km de vélo et 42,195 km de course à pied.
Le club vise la performance, la qualification à Hawaï et souhaite valoriser les talents locaux sur une épreuve internationale.
Non, certains cherchent la qualification, d’autres veulent avant tout finir l’épreuve ou battre leur record personnel.
La préparation comprend des entraînements adaptés, des suivis scientifiques, de la préparation mentale et une gestion de la récupération.
Oui, des plateformes officielles Ironman proposent le suivi live, tout comme certains réseaux sociaux du club.
Un article détaillé est dédié à Thibault Escaich et son objectif Kona sur le site dans notre rubrique actualité.